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Le Bonheur est attaché à l'Obéissance"Je me souviens avoir lu une fois quelque part cette phrase, ""l'obéissance Parfaite serait le bonheur parfait, si seulement on avait une parfaite confiance en la puissance en laquelle nous devons obéir"". Je me souviens avoir été frappé comme par une révélation jusque-là insoupçonnée du chemin du bonheur alors que ma vie connaissait l'anarchie. J'entrevoyait déjà la vision d'un repos, et d'un développement personnel, qui me permettrait d'apaiser ma vie et en même temps de satisfaire tous mes désirs. Ce repos m'a été révélé maintenant, pas seulement comme une vision, mais comme une réalité. J'ai appris en Jésus, notre Seigneur, le Maître à qui l'on peut tout donner jusqu'à nos nos pensées les plus intimes l'obéissance. J'ai pri son joug sur moi et j'ai trouvé le repos parfait"?--------------------------------- Pourquoi la plupart des gens ne trouvent pas ce chemin du bonheur ? Un abandon total, sans aucune réserve, leur semble trop demandé. Il implique trop, c'est une tâche trop grande. Les temps ne sont pas à l'abandon total, mais plutôt à la demande d'une plus grande autonomie : Le monde refuse de reconnaitre et se soumettre aux lois de la nature. Les nations se fragamentent, chaque région réclamant à corps et à cris son indépendances. Les humains ont rejetés Dieu dans leur recherche de la liberté. On entend partout les cris de liberté : Libeté nationale, liberté sexuelle, liberté religieuse. Droit de vote, république, autonomie, indépendance, accès libre à l'avortement, à l'homosexualité, féminisme ... Cette nouvelle doctrine diabolique, trouve ses sources dans le péché d'Eve à qui le diable promettait une liberté illusoire qui plogeat le monde dans le chaos le plus total. C'est cette illusion de liberté qui maintient le monde dans la folie et le conduit à son extinction totale. Chacun de nous est né tout entier dans ce sésordre, et comme une éponge imbibée d'encre, nous en sommes remplis. Nous en sommes venu à penser que cela était normal. Que c'était la vie ! N'ayant jamais connu le bonheur qui découle de l'obéissance, nous pensons que ce dernier consiste à suivre la voie des nations. Nous nageons et survivons dans une eau polluée que nous buvons chaque jour et crions avec les fous : liberté, liberté... Pauvre de nous, pauvres pécheurs ! Alors comment faire pour trouver le vrai bonheur ? Nous devons nous soumettre totalement et sans retenu, à Celui qui est par essence, notre Crétateur et Père céleste. et à tous ceux à qui il remit l'autorité, pour nous conduire dans la voie du bonheur. Il ne peut y avoir de bonheur sans l'aceptation d'une soumission totale, à l'autorité divine. One ne peut connaître le bonheur en s'opposant aux loi de la nature, On ne peut connaître le bonheur en s'opposant à la loi de Dieu, on ne peut connaître le bonheur en s'opposant à l'autorité du presbytre, ni à celle de son mari, ni à celle de ses parents. Notre Seigneur a dit: “celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui aime-Moi; et celui qui aime Me sera aimé de mon Père, et je l'aimerai, et je Me manifesterai à lui.” Nous avons chacun de nous des amis, avec qui nous passons du bon temps et nous nous réjouissons ensemble. Nous apprécions leur compagnie, nous somme heureux de nous rencontrer et et de passer de bons moments. Cependant nous n'allons pas nous affliger s'y l'un d'eux venait à nous quitter comme si un parent était décédé, n'est-ce pas ? Nous ne leur faisons pas part de nos pensées les plus intimes, nous grdons une certaine réserve, car ils sont nos amis, mais pas notre père ou notre mère ou plus encore notre conjoint. Mais il existe d'autres relations dans la vie où tout cela est différent. C'est lorsque l'amitié devient amour. En effet, il en va tout autrement avec notre Dieu à qui nous pouvons tout confier même nous pensées les plus secrètes. De même notre conjoint nous connaît et nous aime et nous le savons puisque nous l'avons épousé. Lorsque nous sommes séparé de Deiu ou de notre conjoint pour un temps, nous ressentons ce manque comme pesant et douloureux. Ils nous manquent terriblement, et si notre conjoint venait à mourir se serait une chose terrible. Nous lui confions, nos plus petits soucis et nos peines les plus secrètes. Nous l'aimons. Nos deux cœurs se sont donnés l'un à l'autre. Nous ne sommes plus deux mais une seule chaire tant avec Dieu, qu'avec notre conjoint. Trouvons nous anormal de nous livrer corps et âme à notre Dieu qui nous a tant donné ? N'est-ce pas plutôt un privilège que de pouvoir nous reposer sur lui de tous nous fardeaux, de toutes nos peines, de tous nos tracas ? Pourquoi donc rejeter l'autorité d'un mari Chrétien, aimant et attentionné qui donnerait sa vie pour nous ? Se soumettre à son autorité comme à celle ordonnée par Dieu, et mise en exemple par la vie même de Christ, c'est avoir trouvé le chemin qui conduit au bonheur. En effet, le chemin qui conduit au bonheur, c'est l'obéissance et la soumission la plus totale à l'autorité divine. Ce chemin permet d'éviter les embûches, et les pièges que connaît notre humanité éloignée de Dieu. Soyez confiant que Dieu tout comme votre mari ne vous aime pas d'amitié, mais d'amour ! Il cherche à faire votre bonheur, votre joie. Mais seul un abandon total pourra le satisfaire. Il vous donnera tout, mais il attend tout de vous en retour. La moindre réserve ne peut qu'attrister son cœur. Il ne s'est pas épargné Lui-même. Comment pourriez-vous, vous épargnez ? Pour votre bien, Il a abandonné de tout ce qu'Il avait, et vous a donné son nom que vous portez, vous devez abandonner tout ce que vous avez sans compter ou mesurer. Soyez généreux dans vos abandon de soi! En échange de son immense dévouement pour donnez-lui votre immense dévouement. Soyez heureux et impatients de vous jeter à corps perdu dans les bras de votre cheri et remettez-lui les rênes du gouvernement. Quoi qu'il en soit de vous, laissez-Lui tout. Renoncez à jamais à tout ce qui est séparé de Lui. Démissionnez à partir de cet instant de toute votre liberté de choix, et la gloire de la bienheureuse proximité de l'union qui créé l'enthousiasme, le dévouement, deviendra non seulement possible, mais réalité. Vous vous souvenez probablement d'instant où vous n'étiez pas assez intime avec une personne pour l'approcher de plus près. Vous n'avez-vous pas ressenti cette capacité d'abandon de soi et de dévouement, qui semble à brûler à l'intérieur de vous comme un feu, lorsque vous aimez vraiment. Vous n'étiez pas assez proche pour étancher votre coeur. Votre proximité n'était pas suffisante. Votre bonheur n'était pas complet. Mais lorsque vous avez rencontré l'âme soeur, tout était différent alors ! Votre coeur trésaillait de joie. C'était le printemps qui venanit à votre rencontre. Les obligations de l'amour étaient pour vous les plus doux des privilège. Vous étiez pret à l'abandon de tout ce que vous aviez pour votre Seigneur, il vous semblait alors toucher au bonheur véritable. Oui, le bonheur parfait réside dans la perfection de l'obéissance. Si vous comprenez cela, alors vous commencez à ce que Jésus voulait dire quand Il dit : “je prends plaisir à faire ta volonté, Ô mon Dieu.” Alors le bonheur et la joie dans ce sera de votre côté? La joie n'apparteint-elle pas à ceux qui sont ainsi rendus à Lui, et qui aiment lui obéir? Les Écritures sintes nous révèlent un aperçu de la joie, de la satisfaction, que Seigneur éprouve pour nous, lorsque nous lui obéissons d'un coeur complet. Aussi impossible et incompréhensible que cela paraisse, le Seigneur à besoin de notre amour et de notre obéissance, car cela réjouit son coeur, et le pousse à nous aimer en retour. Que nous devrions avoir besoin de Lui, est facile à comprendre, qu'Il a besoin de nous, semble incompréhensible. Que notre désir devrait être vers Lui, c'est une question de cours; mais que Sa volonté doit être vers nous, dépasse les limites de la croyance humaine. Il dit: “celui qui aime me sera aimé de mon Père, et je l'aimerai, et je me manifesterai à lui.” Continuellement, comme un époux aimant, Il frappe à chaque cœur, , et en demandant de prendre le contrôle total de notre vie, de nos espoirs, pour nous donner en échange l'objet de son suprême amour. “Veux-tu que moi,” dit le bien-Aimé au croyant? Veux-tu me suivre dans la souffrance et la solitude, et supporter la dureté de mon amour, sans me demander aucune récompense, que mon sourire d'approbation, et mes mots de louange? Veux-tu te lancer toi-même dans un abandon total de la loi de la vie Chrétienne ? Veux-tu me donner le contrôle absolu de toi-même et tout ce que tu es? Veux-tu être satisfait de me plaire à moi seul? Puis-je faire mon chemin avec toi en toutes choses? Veux-tu demeurer en étroite union avec moi, et faire la séparation nécessaire d'avec le monde? Veux-tu m'accepter pour ton seul Seigneur, et abandonner tous les autres pour t'attacher seulement à Moi?” Tous ne répondrons pas “Oui” à ces questions. Pour beaucoups, d'autres amours et d'autres intérêts semblent trop précieux pour être mis de côté. Ils ne manqueront pas obligatoirement de Ciel, à cause de cela. Mais tout comme Eve, ne connue pas le chemin du bonheur, ils ratent la joie indicible d'un bonheur sans faille lié à l'obéissance. |
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